Monter à cheval est peut-être l’une des activités sportives les plus intrigantes : d’une part, elle convient à ceux qui aiment la vitesse et la compétition, d’autre part, elle est idéale pour ceux qui aiment l’élégance et la discipline, mais quand commencer à monter un poney ?
Monter à poney : à quel âge ?
Dès l’âge de quatre ans, les enfants peuvent commencer à prendre conscience de ce que signifie monter à cheval. La relation avec le cheval oblige l’enfant à entrer en relation avec une autre créature extrêmement intelligente et, surtout, l’aide à être indépendant, respectueux et déterminé et à prendre confiance en lui.
Le budget de démarrage
Les coûts sont très abordables. En France, il existe de nombreuses écoles d’équitation et vous pouvez donc trouver de tout, mais une leçon ne coûtera jamais moins de 10 euros, 25 étant le prix le plus élevé. En revanche, si vous achetez des forfaits de 10 heures, le coût de chaque leçon tombe à 15 euro. À cela s’ajoute le coût de l’adhésion au centre équestre, qui sera d’environ 50-100 euros par année.
À cela s’ajoute le coût d’une bombe (20 à 400 euros) et de bottes (20 à 1 000 euros). Pour les protections, si elles ne sont pas fournies par le centre équestre, une dépense minimale de 40 euros doit être budgétisée. Une autre dépense annuelle est le coût de la licence, qui s’élève à environ 30 euros et constitue la dépense la plus importante car elle nous permet de vivre notre passion.
Équipement nécessaire
Pour monter à cheval, vous n’avez pas besoin d’un uniforme, mais d’un ensemble d’équipements qui constituent principalement une protection pour la sécurité de nos enfants.
Le casque d’équitation ; des bottes ou des bottines avec une semelle striée pour leur permettre de « s’accrocher » dans l’étrier. Il est nécessaire que les chaussures ou les bottes aient un talon et c’est pourquoi les baskets sont à éviter ; un pantalon ajusté, élastique et infroissable pour éviter les frottements et les irritations ; un corset de protection confortable et de la bonne taille ; des gants pour protéger les mains ; les étriers doivent être suffisamment larges pour éviter que le pied ne se coince en cas de chute.